Chaque matin, avant l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était vivement flegmatique, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un us de filtrage, en intégrant https://lauriana54208.newsbloger.com/34834072/les-ossements-qui-rêvent