Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était généreusement passif, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de dépuration, utilisant des herbes https://mylessbgjj.blog2news.com/34835439/les-trajectoires-enfouies